• De la rubrique « Désorientés »

    Eh, oui, cette fois-ci je vous invite à vous laisser « désorienter ». Cela arrive si souvent déjà dans notre vie de tous les jours, alors pourquoi en rajouter, me direz-vous ? Justement pour découvrir que toutes ces raisons qui nous laissent tellement « désorientés », sont en fait presque toujours de mauvaises raisons. La peur, surtout, est une bien mauvaise conseillère. Mais il faut tout de même plonger dans ces évènements qui nous dérangent, dans cette peur qui nous visite chaque jour, pour arriver à les dépasser et à retrouver la paix de l’âme pour continuer notre belle aventure sur terre.

    L’article « Toujours debout », du 13 avril 2015, part de la simple constatation que nous passons nos journées parfois à nous plaindre et à avoir peur de tout, et pourtant nous sommes bien là, bien vivants et la vie continue (au moins tant que nous ne sommes pas morts), alors pourquoi gâcher toujours notre vie en regardant seulement ce qui est négatif ?

    Dans « Toujours la peur », du 29 mai 2015, vous pourrez méditer sur cette compagne fidèle de notre cheminement de chaque jour. La peur ne nous quitte jamais. Il faut lui reconnaître tout de même quelques aspects positifs, mais le plus souvent elle est bien bête et inutile.

    « Vue d’en haut », du 28 novembre 2015, nous invite à regarder les évènements et les personnes avec un regard un peu plus serein et objectif, si l’on veut redécouvrir que la vie est toujours une belle aventure et qu’en chaque homme il y a bien souvent un trésor caché.

    Mais vous pouvez continuer votre promenade dans le blog en cherchant « Tout le monde est mort ? » du 7 août 2015, « On finit par douter de tout » du 18 octobre 2015, « Plus de peur que de mal » du 18 décembre 2015, « Pourquoi servir la haine ? » du 4 janvier 2016, « Pas plus de 150 amis » du 23 janvier 2016, « Penser du mal des autres »  du 20 février 2016, « Une belle relation » du 15 mars 2016 (article publié aussi en français dans la revue libanaise « Al Madina al Jadida » ou « Espoir malgré tout » du 4 mai 2016.

     

    De quelqu’un qui se sent perdu, on dit parfois qu’il a « perdu le nord ». Je crois que pour être fidèle à « L’Orient La Nuit », on devrait peut-être penser qu’une personne désorientée est celle qui a perdu l’orient et toute sa lumière : vous ne pensez pas ?


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  • Je sais que mon blog est au repos en cette période, mais il doit sortir de son silence devant un tel évènement. « Le Royaume Uni est sorti de l’Europe ! »

    Sorti ? Façon de parler : les relations entre notre cher voisin et les autres pays européens vont bien continuer d’une manière ou d’une autre. Les échanges commerciaux, touristiques, culturels, économiques, politiques, sportifs vont peut-être même redoubler d’intensité par peur que la fracture devienne plus grande encore. On ne va tout de même pas revenir à la guerre de cent ans !

    Mais que veut dire tout cela ? Que nos frères et sœurs d’Angleterre, de Galles, d’Ecosse et d’Irlande du Nord préfèrent s’isoler de nouveau sur leur île ? Facile de juger toujours l’autre en disant que c’est lui qui a commencé. La faute, si faute il y a, est certainement toujours partagée. L’Europe unie est un projet tellement beau, tellement ambitieux, qu’il ne peut se réaliser en quelques années. Au sortir de la deuxième guerre mondiale, l’horreur des millions de morts et des destructions massives a certainement poussé tout le monde à changer complètement de direction. Mais maintenant un certain égoïsme a pris le dessus, et ce n’est pas seulement celui des Anglais…

    Alors, doit-on une fois encore se désespérer et penser que l’humanité ne changera jamais ? Non, l’humanité continue à mûrir, lentement mais sûrement. Seulement il y a encore trop d’intérêts qui croient qu’en se divisant on peut mieux profiter de l’autre ou même le dominer. Ce n’est pas par hasard si Mr Trump, candidat républicain aux prochaines élections américaines, a déclaré il y a quelques jours qu’il était favorable au « Brexit » ! Ses grands alliés, les marchands d’armes, sont plus sûrs de vendre leurs produits mortels chaque fois que le monde se divise un peu plus. Mais ce n’est là qu’un aspect du problème.

     

    Le fond du problème, c’est que l’homme sent confusément qu’il serait bien plus heureux s’il était ami de tout le monde. Mais chaque fois qu’il essaye de créer cette amitié, voilà que les plus forts en profitent et poussent finalement chacun à se retirer dans son coin en pensant que, tout seul, on finira par s’arranger et qu’on sera plus libre et plus soi-même. C’est là le piège, un piège parfois mortel, qui empêche l’humanité de grandir. Car l’humanité ne se portera pas mieux seulement quand l’Europe sera un peu plus unie, surtout si cette Europe est unie pour dominer les autres. Désormais les peuples sont tellement interdépendants que le drame ou la chute d’un seul se répercute négativement sur le monde entier. Il n’y a pas d’autre chemin que de se relever après chaque échec et rechercher ensemble de nouvelles solutions. L’homme est si intelligent qu’il continue à produire des inventions qui auraient été inimaginables à peine quelques années plus tôt. Pourquoi ne mettrait-il pas finalement son intelligence au service de l’harmonie entre les nations ? Ce ne serait pas là la meilleure invention, celle qui nous ferait vraiment respirer et nous aiderait à résoudre ensemble tous nos problèmes ?


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  • Après « Batailles », je vous propose de revenir sur notre rubrique « Découvertes ». La vie serait bien triste sans découvertes. Je pense même que vivre, c’est découvrir. Si on ne parvient plus à faire chaque jour au moins une petite ou une grande découverte, c’est que la vie s’est arrêtée, c’est comme mettre notre voiture au garage et aller à pied parce qu’on n’a plus le courage de conduire…

    Vous pouvez donc rechercher dans les archives ces articles de « Découvertes ». Mais, pour vous faciliter la tâche je vous propose de revenir sur « Le bien caché » (du 7 novembre 2015) : n’y a-t-il pas toujours un bien caché, même dans les situations les plus pénibles ?

    Puis vous pouvez relire « Inventer l’autre » (du 11 août 2015) : on ne peut pas changer l’autre, mais si on essayait de l’inventer, ou si on l’aidait à s’inventer lui-même, la vie ne serait-elle pas plus sympathique ?

    Sans oublier « Ce qui me gêne chez l’autre » (du 13 mars 2016) : au lieu de voir toujours l’autre comme un obstacle, voilà que je découvre en lui l’occasion de m’ouvrir et de m’enrichir à l’infini…

    Mais vous pouvez encore rechercher « Qui suis-je ? », « Humanité, signes positifs », « L’autre attend », « Découvertes, vraiment ? », « Avec les yeux de l’autre » … Et surtout ce serait si beau si vous me faisiez parvenir vos propres découvertes, qu’on partage un peu, ou aussi tout ce qui vous gêne dans mes découvertes à moi ou ce que vous trouvez bizarre, utopique, loin de la réalité… qu’on dialogue toujours un peu plus.

     

    Bonne lecture à tous !


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    Dans notre retour aux premiers articles du blog, j’ai choisi cette semaine la rubrique « Batailles ». Oui, il ne suffit pas d’avoir de bonnes intentions pour changer le monde en nous et autour de nous, il faut aussi avoir le courage de « se battre » pour la paix, la justice, la vérité, la solidarité, toutes ces valeurs présentes au cœur de chacun, mais trop souvent cachées et même oubliées.

    Je vous conseille de reprendre en particulier :

    -          « L’hypocrisie des armes » du 17 mai 2015. C’est un article adressé avant tout à mes compatriotes français mais aussi à tout homme de bonne volonté. On ne peut pas parler de paix, dire même qu’on veut travailler pour améliorer les relations entre les peuples et continuer à vendre des armes qui vont encore faire des victimes, innocentes ou pas. Ce n’est pas cela qui fera avancer l’humanité !

    -          « Guerre ou paix ? » du 18 novembre 2015. Il faut choisir son idéal dans la vie et ensuite être cohérent avec le choix qu’on a fait. Sinon…

    -          « Bonté et naïveté » du 6 février 2016 : on dit souvent que la bonté ne suffit pas et qu’elle ne résoudra jamais les problèmes, mais que propose-t-on à sa place ?

    Et vous pouvez toujours chercher d’autres articles, en cliquant sur les tags, ou en parcourant les archives. Vous tomberez sur « Peur de l’islam ? », « L’affrontement », « Choc des civilisations », « Je ne peux pas me taire », « La bataille de la transparence »…

    Cela me donne du courage d’écrire, mais aussi de connaître vos réactions quelles qu’elles soient.

     

    Bonnes découvertes, ou redécouvertes ! 


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  • Retour « au cœur du verbe »

     

    Oui, je continue à le répéter, au risque de lasser mes lecteurs : nous ne remercierons jamais assez les verbes de leur fonction dynamique dans la phrase, dans nos dialogues et dans la vie tout court.

    Sans les verbes, nous serions paralysés, impuissants, incapables de nous comprendre et de nous organiser.

    Je vous propose donc, pour notre troisième semaine de retour sur le blog, de relire un instant ces quelques pages où j’ai essayé de déverser toute ma passion pour mes amis les verbes.

    Je vous propose avant tout :

    -          « La vision des quatre verbes » du 27 mars 2015 : un essai de résumer toute la dynamique de notre vie en quatre mots-clés tout simples.

    -          « Ouvrir » du 28 février 2015, pour ouvrir notre intelligence et notre cœur à la vie qui nous attend.

    -          « Chercher » du 10 février 2015 : le premier verbe qui a ouvert justement notre recherche infinie.

     

    Mais vous pouvez lire aussi « Le verbe a-t-il un cœur ? », « Accueillir », « Avoir », « Sortir », « Donner », « Pouvoir », « Posséder »… des mots tout simples capables de changer complètement nos horizons et le sens de notre vie. Bonne promenade !


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