• Les mots de novembre: Paulo Coelho

     

    [J’ai choisi ce mois-ci des citations d’un écrivain à la mode, l’écrivain brésilien Paulo Coelho. Cela ne veut pas dire que je suis forcément d’accord avec tout ce qu’il dit. Mais, comme tous les grands écrivains ou penseurs, c’est quelqu’un qui ne peut pas nous laisser indifférents. Il nous aide au moins à réagir, à trouver un sens à notre vie de tous les jours. Ecoutons-le et entrons dans son univers qui enrichira sûrement le nôtre.]

     

    C'est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante. 

     

    Il y a une grande vérité en ce monde : qui que tu sois et quoi que tu fasses, lorsque tu veux vraiment quelque chose, c'est que ce désir est né dans l'Âme de l'Univers. 

    Je suis comme tous les autres : je vois le monde comme je souhaiterais que les choses se produisent, et non comme elles se produisent réellement. 

     

    Ce qui séduit le plus les hommes, c'est la beauté.  

     

    Je ne veux pas changer, parce que je ne sais pas comment changer. Je suis désormais tout à fait habitué à moi-même.  

     

    Toute bénédiction qui n'est pas acceptée se transforme en malédiction.  

     

    Il y avait dans le monde un langage qui était compris de tous [...]. C'était le langage de l'enthousiasme, des choses que l'on fait avec amour, avec passion, en vue d'un résultat que l'on souhaite obtenir ou en quoi l'on croit. 


    Dans la vie, tout est signe.  

     

    Personne ne doit avoir peur de l'inconnu, parce que tout homme est capable de conquérir ce qu'il veut et qui lui est nécessaire.  

     

    Quand on aime, les choses ont encore davantage de sens. 


    À la vérité, les choses ne révélaient rien par elles-mêmes ; c'étaient les gens qui, en observant les choses, découvraient la façon de pénétrer l'Âme du monde.  

     

    Chaque jour porte en lui l'Éternité. 

    Il n'y a qu'une façon d'apprendre, c’est par l'action. 

     

    L'heure la plus sombre est celle qui vient juste avant le lever du soleil. 

    Quand nous avons de grands trésors sous les yeux, nous ne nous en apercevons jamais. Et sais-tu pourquoi ? Parce que les hommes ne croient pas aux trésors.  

     

    Lorsqu'une chose évolue, tout ce qui est autour évolue de même. 

     

    En général, la mort fait que l'on devient plus attentif à la vie.

     

    C'est quand on aime que l'on arrive à être quelque chose de la Création. Quand on aime, on n'a aucun besoin de comprendre ce qui se passe, car tout se passe alors à l'intérieur de nous, et les hommes peuvent se transformer en vents. À condition que les vents les aident, bien sûr. 

    Nous souffrons parce que nous croyons donner plus que nous ne recevons.  

     

    Je me souviens de mon instant magique, de ce moment où un " oui " ou un " non " peut changer toute notre existence. 

     

    Toutes les histoires d'amour sont semblables. 

     

    Le bonheur est parfois une bénédiction - mais, le plus souvent, c'est une conquête.

     

    Il y a des instants magiques qui passent inaperçus et puis, tout à coup, la main du destin change notre univers.

     

    Celui qui est capable de maîtriser son cœur est capable de conquérir le monde. 

     

    Aimer, c'est perdre le contrôle.
     

    Ce qui existe, ce sont les échecs. Personne n'y échappe. Aussi vaut-il mieux perdre quelques combats en luttant pour ses rêves que d'être battu sans seulement savoir pour quoi on lutte. 

     

    L'univers nous aide toujours à nous battre pour nos rêves, si bêtes qu'ils puissent paraître.

     

    Parce que ce sont nos rêves, et nous sommes seuls à savoir combien il nous a coûté de les rêver. 

     

    Il est inutile de parler de l'amour, car l'amour possède sa propre voix, et parle de lui-même. 

     

    Et le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise.
     

    La vérité se trouve toujours là où existe la foi. 

     

    Nous sommes notre plus grande surprise. 

     

    Un royaume divisé ne résiste pas aux attaques de l'ennemi. Un être humain divisé ne réussit pas à affronter dignement la vie.

     

    L'amour se découvre dans l'acte d'aimer. 

     

    Lorsqu'un nombre déterminé d'individus évoluent, c'est l'espèce tout entière qui finit par évoluer. 

     

    Le destin des montagnes doit être terrible. Elles sont obligées de contempler toujours le même paysage. 

     

    Savoir qu'aucun jour n'est semblable à un autre, et que chaque matin comporte son miracle particulier, son moment magique, où de vieux univers s'écroulent et de nouvelles étoiles apparaissent.
     

    C'est une chose de penser que l'on est sur le bon chemin, une autre de croire que ce chemin est le seul. 

     

     

    Les rêves donnent du travail.

     


  • Commentaires

    1
    Hayat
    Mercredi 4 Novembre 2015 à 13:09
    J'aime pariculièrement deux citations :le bonheur est qqe chose qui se multiplie qd il se divise .
    Et aussi : nous souffrons pcq ns croyons donner plud que nous ne recevons .
    Et : l'heure la plus sombre est celle qui vient juste avant le soleil.
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