• L’Evangile est étonnant. C’est vraiment la Parole de Dieu. A la fois simple, concrète, profonde et en même temps rapide dans son essentialité. Jésus et l’évangéliste sont en train d’aller droit au but. « Jésus et ses disciples approchent de Jérusalem, de Bethphagé, près du mont des Oliviers. »

    Jésus est encore en mouvement, mais ce mouvement qu’il est lui-même, ce mouvement qu’est Dieu qui pénètre dans l’histoire de l’humanité (« Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur… ») va bientôt s’arrêter. Jésus ne va plus parcourir la Galilée et la Samarie, la Décapole ou la Phénicie. Il a fait ce qu’il devait faire. Le voilà qui rentre à Jérusalem, car son heure est proche.

    Peu de mots, quelques descriptions, peu d’actions. Les personnages du drame qui arrive à sa fin ne sont plus que Jésus et ses disciples d’un côté et les grands prêtres, les scribes et les anciens de l’autre, avec la foule au milieu qui va sembler prendre définitivement le parti de Jésus, pour le trahir presque tout de suite après.

    Mais revenons encore à ce mouvement extraordinaire, Dieu qui vient nous visiter, qui ne cesse de se déplacer, qui nous donnerait presque le tournis. « Ils partent… » « Ceux qui marchaient et ceux qui suivaient criaient… » « Jésus entra à Jérusalem. » « Ils quittèrent Béthanie… » « Ils arrivèrent à Jérusalem. Alors Jésus entra dans le Temple… » « Jésus et ses disciples s’en allaient hors de la ville… » « …en passant… » « Jésus et ses disciples reviennent à Jérusalem. Et comme Jésus allait et venait dans le Temple… » Oui, Dieu est mouvement, sans doute parce qu’il est amour et l’amour ne peut pas un instant s’arrêter, car il est là continuellement en train d’accueillir et de donner.

    La première description est un peu originale. La recherche de cet ânon qu’on va amener à Jésus pour qu’il monte dessus. Ce qui est étonnant ici, c’est que les disciples vont prendre cet ânon qui ne leur appartient même pas et personne ne va rien leur dire. On dirait que Jésus joue avec ses disciples. Cela ne se fait pas d’aller prendre un âne dans la rue sans même le dire à son propriétaire, mais Jésus lit dans la pensée des gens, il sait comment les disciples vont faire pour s’en tirer. C’est un peu comme le figuier que Jésus maudit un moment plus tard et qui va se dessécher définitivement. Ce sont encore des signes, des clins d’œil de Jésus à ses disciples, à travers lesquels il leur enseigne encore son message. « Et ses disciples écoutaient ». Jusqu’au dernier moment ils essayent de comprendre, sans peut-être y parvenir beaucoup, mais ce sera là l’occasion d’un enseignement supplémentaire. Rien n’est fait au hasard. Jésus n’est pas en train de faire des caprices pour le plaisir. Il accumule les signes pour que ses disciples n’aient plus de doutes.

    Les principaux tableaux de ce chapitre sortent tous encore plus de l’ordinaire. L’acclamation de la foule à l’entrée de Jésus à Jérusalem montre que Jésus aurait vraiment pu devenir le roi des Juifs s’il l’avait vraiment voulu, mais ce n’était pas dans le plan de Dieu. Les disciples « amènent le petit âne à jésus, le couvrent de leurs manteaux, et Jésus s’assoit dessus. Alors beaucoup de gens étendirent sur le chemin leurs manteaux, d’autres des feuillages coupés dans la campagne. Ceux qui marchaient devant et ceux qui suivaient criaient : ‘ Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Béni le Règne qui vient, celui de notre père David. Hosanna au plus haut des cieux !’ » Une sorte de rêve qui sera de bien courte durée. Avec Jésus on rêve toujours à ce qui serait arrivé s’il s’était servi de ses pouvoirs divins : mais c’est justement cette tentation du diable qu’il a rejetée lorsqu’il était tout seul au désert. Le destin de Jésus est un autre et cela va vite devenir bien clair.

    C’est pour cela que Jésus va maintenant provoquer ses adversaires dans le Temple. Cette fois-ci c’est une action bien réfléchie, étudiée à l’avance. « Jésus entra à Jérusalem dans le Temple. Il inspecta du regard toutes choses et, comme c’était déjà le soir, il sortit avec les disciples pour aller à Béthanie. » Jésus s’est préparé mais il attendra le moment propice le lendemain, en pleine journée, sans doute quand il y a le plus de monde, pour agir enfin. Cette fois-ci, il ne va plus se cacher. Car il sait que sa provocation sera le début de la fin. « Jésus entra dans le Temple et se mit à expulser ceux qui vendaient et ceux qui achetaient dans le Temple. Il renversa les comptoirs des changeurs et les sièges des marchands de colombes, et il ne laissait personne traverser le Temple en portant quoi que ce soit. Il enseignait et il déclarait aux gens : ‘L’Ecriture ne dit-elle pas : ‘Ma maison s’appelle maison de prière pour toutes les nations ? Or vous, vous en avez fait une caverne de bandits.’ Les chefs des prêtres et les scribes apprirent la chose, et ils cherchaient comment le faire mourir. » Son heure est venue.

    La fin du chapitre sera ce dialogue de sourds entre Jésus et les chefs des prêtres, les scribes et les anciens qui l’abordent cette fois directement, car Jésus a dépassé les bornes : « Par quelle autorité fais-tu cela ? Ou bien qui t’a donné autorité pour le faire ? » Tout est là : une question d’autorité. Les grands prêtres et les scribes pensaient que leur autorité venait de Dieu et ils étaient tellement aveuglés qu’ils ne pouvaient pas voir que c’était Dieu lui-même qui était en train de leur parler. Voilà ce que l’homme est capable de faire du message de Dieu. Pire que ceux qui refusent Dieu, parce qu’ils n’y croient pas : ceux qui prétendent suivre Dieu, mais qui font le contraire de ce qu’il demande. Une grande leçon de l’Evangile.

    Tout cela est suffisamment clair dans ce chapitre, comme une immense caricature. Mais le message ne s’arrête pas là. En passant, en quelques mots adressés à ses disciples, Jésus va encore résumer tout le sens de la Bonne Nouvelle. On pourrait la synthétiser avec ces trois mots : foi, prière et pardon. Tout est là. Le pardon, c’est le plus grand signe de l’amour de Dieu qui n’a pas de limite. « Quand vous êtes là en train de prier, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez-lui pour que votre Père qui est aux cieux vous pardonne aussi vos fautes. » Le pardon que l’homme tout seul ne pourrait certainement pas avoir la force d’exercer, il le trouve justement dans la prière qui lui permet de se laisser pénétrer par cet amour immense de Dieu qui ne juge jamais, car il est là pour donner sa vie pour nous qui sommes pécheurs.

    Mais pour prier et pardonner il faut faire le pas de se jeter un instant dans le vide : « Ayez foi en Dieu. Amen, je vous le dis : tout homme qui dira à cette montagne : ‘Enlève-toi de là et va te jeter dans la mer’, s’il ne doute pas dans son cœur, mais croit que ce qu’il dit va arriver, cela lui sera accordé ! C’est pourquoi je vous le dis : tout ce que vous demandez dans la prière, croyez que vous l’avez déjà reçu, cela vous sera accordé. » C’est encore un autre caprice que Jésus nous fait faire dans ce chapitre parfois étrange ? Non, simplement Jésus veut nous dire que ses catégories de pensée vont bien au-delà des nôtres, nous n’arriverons jamais à tout comprendre. Mais la prière est justement la garantie qu’il ne s’agira pas d’un caprice, car dans la prière c’est l’Esprit de Dieu qui nous dira ce que nous devons demander avec la certitude de l’avoir déjà obtenu.

    J’ai déjà expliqué auparavant combien nos langues européennes sont limitées lorsqu’elles parlent d’ « avoir la foi ». Il n’y a pas de verbe avoir dans les langues sémitiques. La foi ne sera jamais quelque chose qu’on « a », qu’on « possède ». Il s’agit ici simplement de croire, c’est-à-dire de faire confiance à Dieu, même dans l’obscurité et de se jeter dans ses bras. La foi est un mouvement de l’amour de Dieu en nous que nous laissons pénétrer au plus profond de notre cœur et qui transforme notre vie, mais dans une perpétuelle donation de nous-mêmes, car la foi ne sera jamais une assurance basée sur des certitudes passées, mais l’intuition que Dieu est là qui nous attend et va nous sauver.

    La Parole de Dieu est vraiment unique. Qu’on la retourne dans tous les sens, elle nous redira toujours la même chose mais avec des nuances infinies, toujours nouvelles. Et tout tourne encore entre ces trois piliers de notre vie : moi, Dieu et le frère. Moi qui ne serais rien sans Dieu et le frère, moi qui ne peux pas me contenter de prendre Dieu pour moi tout seul en dédaignant le frère que je dois aimer jusqu’au pardon. Et ce frère qui attend que je lui transmette l’amour et le pardon de Dieu, comme moi je l’ai reçu. Trinité d’amour au ciel et sur la terre, tout cela en quelles phrases rapides, profondeur unique et insondable de la Parole de l’Evangile !

     

     


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  • Ça, c’est vraiment une grande découverte que je suis en train de faire ces derniers temps. J’ai seulement un peu peur de vous scandaliser. Je viens seulement de me rendre compte que toute une partie de notre éducation chrétienne qui insiste sur le fait que nous devons toujours aimer et donner sans rien attendre de retour est en fait ridicule, car il y a là un immense malentendu, une méprise sur le sens des mots et la signification de toute la vie elle-même.

    Bien sûr que l’amour doit être désintéressé, dans le sens de ne pas être d’abord égoïste, replié sur soi. Mais soyons sincères, n’ai-je pas un grand intérêt à aimer l’autre ? Ce qui est beau dans l’amour et l’amitié, c’est que plus j’aime l’autre, plus je désire le bien de l’autre et son intérêt, plus je suis comblé moi-même dans la réciprocité : amour et amitié désintéressés si l’on veut, mais finalement tellement intéressés, dans le bon sens du terme. Car la vie est terriblement « intéressante », et comme c’est beau de découvrir et de vivre ses secrets.

    Mais venons-en maintenant à l’attente. On me dit que je dois aimer sans rien attendre, car ce n’est pas bien d’enfermer l’autre dans mes plans à moi, mes désirs, mon amour possessif. C’est évident et nous serons toujours d’accord sur ce plan. Mais alors, nous allons passer notre vie à nous mortifier ? Si l’espoir d’un évènement heureux nait dans mon cœur en pensant à l’autre, je vais passer ma vie à refouler mes sentiments, parce que je n’ai pas le droit d’enfermer l’autre dans mes désirs ? Je vais être toute ma vie comme le surveillant de moi-même, prêt à me donner des coups de règle sur les doigts à peine je passe les frontières de ce « désintéressement » ?  Quelle triste vie tout de même !

    Je vais essayer de vous dire où se trouve donc ce malentendu qui me semble maintenant si clair. C’est simplement que mon attente se referme continuellement sur le passé. J’ai vécu avec l’autre des moments de partage, de communion, où nous volions ensemble dans un univers immense qui nous donnait des ailes et voilà que j’attends maintenant que chaque rencontre avec cet autre reproduise les mêmes effets à l’infini. Et je commence à être déçu, parce qu’aujourd’hui l’autre ne m’a pas souri comme d’habitude, il ne m’a pas répondu avec la même attention que la dernière fois. Le doute commence à entrer dans mon esprit que notre relation est en train de se dégrader. Je me suis arrêté dans un passé imaginaire où je me suis enfermé avec l’autre pour toujours, et bien sûr que je vais être déçu, là aussi peut-être pour toujours, si je ne réagis pas rapidement.

    Le problème n’est pas l’attente, mais l’objet de mon attente. J’ai tous les droits et même le devoir d’attendre. Si je sème une graine dans un pré, je dois bien normalement m’attendre à voir pousser bientôt une nouvelle vie, une plante avec des fleurs et des fruits. La catastrophe, c’est que je conditionne mon attente à tout ce que j’ai vécu jusque-là. Je suis souvent comme un pauvre oiseau, collé à la branche de son passé, immobile, ennuyé, fatigué et angoissé, alors qu’il me suffirait d’ouvrir les ailes pour me jeter dans l’espace du présent et de l’avenir qui m’attendent avec toutes leurs surprises.

    C’est donc cela tout simplement ma découverte. Je vais me lever chaque matin plein d’attente ou d’attentes. Je vais même rêver ou imaginer tout ce qui peut m’arriver et arriver de beau à ceux que j’aime et même à toute l’humanité. Mais je vais tâcher de ne rien attendre comme hier. Je vais croire que la vie va m’apporter aujourd’hui de nouvelles belles surprises, des surprises qui passent parfois à côté de nous sans même que nous les remarquions, parce que nous sommes trop concentrés sur nos problèmes et nos déceptions…

    Je sais bien que le présent va aussi m’apporter des surprises amères, des douleurs inattendues, des problèmes apparemment insolubles. Mais là encore je vais faire l’effort de ne pas me répéter comme toujours : « Encore le même problème qui me retombe dessus ! » Non le problème d’aujourd’hui est unique et la vie me donnera sûrement la force et l’énergie de ne pas m’arrêter et de continuer à voler dans l’espace d’un présent qui m’ouvre sans cesse sur l’éternité !


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  • Non, ce n’est pas une plaisanterie, ni un nouvel article de ma rubrique « Provocations ». Vous voyez bien qu’ici c’est la rubrique « Au bout de soi-même ».

    En fait c’est une découverte qui s’est de plus en plus imposée à moi ces derniers temps, comme une évidence. Depuis que j’ai décidé de dire toujours que « je vais bien », quelles que soient les circonstances, je dois avouer que ma vie n’a pas été toujours très facile, mais j’ai réussi quand même à « aller bien », avec l’aide certainement des amis chers avec lesquels je partage mon idéal de vie au service de l’humanité.

    Car c’est cela qui permet d’aller toujours bien. Se dire que si tout le monde va mal, au moins moi, au moins « nous », nous devons continuer à « aller bien » pour aider les autres à se relever, sûrs que si nous tombons à notre tour, nous trouverons certainement quelqu’un pour nous remettre debout, au moins par reconnaissance dans la réciprocité.

    Mais, pour être sincère, le problème principal dans toute cette histoire, ce sont les sentiments qui n’arrêtent pas de nous traverser l’esprit et le cœur et qui créent souvent en nous un peu ou beaucoup de confusion. Et heureusement qu’ils sont là ces sentiments, car ils nous permettent d’être pleinement hommes, de partager avec nos frères et sœurs en humanité les moments les plus profonds ou intenses de notre vie. Mais ces sentiments sont tout de même parfois bien encombrants. Alors que faire ?

    Il y a quelques jours je « me sentais bien mal », sans arriver à comprendre vraiment pourquoi. Un moment de fatigue, quelques difficultés psychologiques que je traine avec moi depuis mon enfance comme une blessure qui me retombe souvent dessus ? Ou bien m’étais-je trop laissé impressionner par les confidences de quelqu’un qui m’est cher et qui me parlait de l’épreuve terrible qu’il était en train de traverser ? Jusqu’à maintenant, je ne saurais pas dire pourquoi.

    Et le même soir, voilà que nous étions invités à diner chez d’autres amis chers. Partager là encore des problèmes, mais dans la joie d’une grande amitié, jouer avec les enfants. Puis accueillir avec eux d’autres amis encore, venus prendre de leurs nouvelles. Un peu de comédie, dans le sens de dire à chacun que j’allais au mieux, même si je ne me sentais pas bien. Mais je n’avais aucune raison objective de dire que j’allais mal.

    Là-dessus une nuit pas trop facile, mais tellement de gens à suivre le lendemain, à écouter, à consoler parfois, que je n’ai plus eu du tout le temps de penser au problème de mes sentiments. Et voilà que, comme par enchantement, toute cette ombre avait disparu comme un fantôme. J’allais donc bien, très bien même, et je ressentais une grande joie émouvante au fond de mon cœur. J’avais donc bien fait de croire et de dire que j’allais bien, même lorsque je ressentais peut-être le contraire. Un exercice à renouveler chaque jour, mais tellement utile si l’on veut vraiment aider notre humanité à progresser ! Excusez-moi si je vous dis là quelque chose que vous-mêmes avez sans doute découvert depuis bien longtemps…

    [Voir aussi mon article « Comment ça va ? » du 16 octobre dernier dans la même rubrique « Au bout de soi-même »]


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  • [Pas besoin de présenter Mère Teresa, « Sainte » Mère Teresa, qui restera pour toujours une lumière dans l’histoire de l’humanité]

    La foi en action est service.
    Chacun de nous doit porter sa propre croix.
    Quand la souffrance s'abat sur nos vies, il faut l'accepter avec un sourire.
    Aimer doit être aussi naturel que vivre et respirer.
    L'amour n'est plus l'amour s'il n'est pas partagé.
    Dieu nous a créés pour que nous réalisions de petites choses avec un grand amour.
    La vie est un combat, accepte-le.
    La vie est une aventure, ose-la.
    La vie est un devoir, accomplis-le.
    La vie est beauté, admire-la.
    La vie est un rêve, fais en une réalité.
    Qui juge les gens n'a pas le temps de les aimer.
    La solitude et le sentiment de n'être pas désiré sont les plus grandes pauvretés.
    Ce qui compte ce n'est pas ce que l'on donne, mais l'amour avec lequel on donne.
    Moins nous possédons et plus nous pouvons donner.
    Qui met son argent au service des autres est vraiment très riche.
    Qui est dépendant de son argent n'est qu'une pauvre personne.

    Pour mieux comprendre ceux avec lesquels nous vivons, il faut d'abord nous comprendre nous-mêmes.
    Le foyer est là où est la mère.
    Donne tes mains pour servir et ton cœur pour aimer.
    Le plus grand péché est le manque d'amour, et le manque de charité.
    Ne laissez personne venir à vous sans qu'il vous quitte meilleur et plus heureux.
    Soyez l'expression vivante de la bonté de Dieu.
    La vie est une chance à saisir, une beauté à admirer, une béatitude à savourer.
    Ceux qui s'aiment réellement et véritablement sont les plus heureux du monde.
    À ceux qui souffrent ne leur donnez pas seulement des soins, mais donnez-leur aussi votre cœur.
    Aux enfants et aux pauvres, à tous ceux qui souffrent, donnez toujours un sourire heureux.
    Afin qu'une lampe continue de brûler, il faut ajouter de l'huile.
    La valeur de notre prière détermine celle de nos âmes.
    La seule maladie qui ne peut se guérir est la maladie de ne pas se sentir aimé.
    Les riches sauvent les pauvres et les pauvres sauvent les riches : le fruit de l'amour est le service.
    Soyons sincères dans nos relations à autrui.
    Ayons le courage de nous accepter les uns les autres tels que nous sommes.
    Ayez un sourire pour votre prochain, donnez-lui du temps.
    Souris cinq fois par jour à qui tu ne veux surtout pas sourire : fais-le pour la paix.
    La plus grande souffrance, c'est d'être seul, de ne pas se sentir aimé, de n'avoir personne.
    L'exclusion est la pire maladie qu'aucun être humain puisse jamais endurer.
    La paix commence avec un sourire.
    Le monde est saturé de souffrances par manque de paix.
    L'enfant est un don de Dieu.
    Pour survivre, l'amour doit se nourrir de sacrifices.
    La critique est le cancer du cœur.
    La générosité diminue quand faiblit l'esprit de pénitence.
    Ouvrez vos cœurs à l'amour que Dieu y déverse : Dieu vous aime avec tendresse.
    C'est ce qu'il y a dans nos cœurs qui donne à nos vies leur qualité.
    Plus les choses sont petites, et plus grand doit être l'amour que nous mettons à les réaliser.
    La vie est un défi à relever, un bonheur à mériter, une aventure à tenter.
    Le fruit de l'amour est le service ; le fruit du service est la paix.
    Le fruit du silence est la prière ; le fruit de la prière est la foi.

    [Citations tirées de: www.mon-poeme.fr/citations-mere-teresa]


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